Je vois beaucoup de gens,
Dans le mouvement frénétique des grandes métropoles,
Toujours seules.
Au fond, un monsieur noir,
Garde sa timidité derrière une pile de livres.
Au-delà, un couple de jeunes essaye
Les petites bises, aussi
Timides.
En réalité, ils se touchent,
En cherchant la caresse plus intime,
Plus forte,
Comme les chevaux,
Qui entament la conquête
De la vastitude du cœur.
Frederico Ferreira
Paris, Avril 2015
Où termine-t-il le rêve et commence-t-elle la réalité ? Dans le réalisme fantastique de la vie, nous ne sommes pas seulement la conscience, nous ne sommes pas seulement le cœur. C’est à travers de l’objectivité de la lumière ou de la tridimensionnalité de l’espace que nous interagissons avec le monde et cela nous provoque différentes aspirations, sentiments, répéres, désirs et, pourquoi pas, rêves. Là, c'est où l'objectivité se confond avec la subjectivité.
mardi 6 mars 2018
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